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De tortues en aiguilles

dessin et peinture

Le week-end, un thème, un tableau

8 Février 2025 Publié dans #dessin et peinture

Un thème, un tableau, les thèmes pour décembre

 

Fardoise nous dit :

En mémoire de Lady Marianne...  Elle a fait de ce challenge ce qu'il est aujourd'hui et nous le poursuivrons sous l'intitulé :

 

"Le week-end, un thème, un tableau"

 

Chaque week-end nous publions un tableau sur un thème donné pour deux semaines, une manière ludique de découvrir la peinture,  et de partager,  

nous disons pourquoi il nous touche,  

et quelques mots sur l'artiste.

 

Lilou nous dit:  La lecture

Un thème bien simple avant que le printemps ne montre son nez, plongez-vous dans la lecture

J'ai choisi ce tableau de F. Leighton :

"Étude au pupitre de lecture"

 

Frederic Leighton est un peintre, illustrateur et sculpteur du néoclassicisme victorien. Très apprécié de ses contemporains, il a reçu de nombreuses distinctions et a même été élevé au rang de chevalier par la reine Victoria. Suivant le style de l’Académie des Arts, il a réalisé des représentations idéalisées de jeunes femmes dans des contextes bibliques et antiques et a par ailleurs peint des scènes de folklore italien et espagnol. Les œuvres de Leighton, imprimées sur toile, ont un rendu authentique particulièrement réussi.

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Le week-end, un thème, un tableau

1 Février 2025 Publié dans #dessin et peinture

Un thème, un tableau, les thèmes pour décembre

 

Fardoise nous dit :

En mémoire de Lady Marianne...  Elle a fait de ce challenge ce qu'il est aujourd'hui et nous le poursuivrons sous l'intitulé :

 

"Le week-end, un thème, un tableau"

 

Chaque week-end nous publions un tableau sur un thème donné pour deux semaines, une manière ludique de découvrir la peinture,  et de partager,  

nous disons pourquoi il nous touche,  

et quelques mots sur l'artiste.

 

Lilou nous dit:  La lecture

Un thème bien simple avant que le printemps ne montre son nez, plongez-vous dans la lecture

J'ai choisi ce tableau de Albert Edelfelt:

"Good Friends "

 

 

Né à Porvoo en 1854, sur la côte sud de la Finlande, Albert Edelfelt est le fils d’un architecte d’origine suédoise. Il suit une première formation artistique à Helsinki, puis bénéficie d’une subvention d’État lui permettant de poursuivre ses études à l’Académie des Beaux-Arts d’Anvers. Souhaitant mener une carrière de peintre d’histoire, Edelfelt entreprend un voyage à Paris pour lancer sa carrière, et comme beaucoup d’artistes à cette époque, s’y installe. Il intègre la prestigieuse École des Beaux-arts et entre en 1874 dans l’atelier de Jean-Léon Gérôme. Très vite son style, d’abord historiciste, évolue en s’inspirant des tendances novatrices du milieu parisien. En 1875, Edelfelt rencontre Jules Bastien-Lepage, grand représentant du naturalisme

Sa peinture offre une vision nouvelle, mêlant désormais impressionnisme et réalisme. Les critiques et le public le plébiscitent et louent son art du portrait. En 1886, le peintre choisit d’immortaliser Louis Pasteur, en pleine célébrité, qui vient tout juste de découvrir le vaccin contre le rage. Le portrait, véritable allégorie de la Science en marche, rencontre un succès retentissant au Salon et lui permet d’acquérir une une renommée internationale. En parallèle, Edelfelt continue de se rendre tous les étés en Finlande où l’amour de ses paysages s’exprime à travers d’ambitieuses et sensibles compositions. Il puise son inspiration dans la vie rurale et les traditions de sa terre natale pour réaliser de grands tableaux qu’il montre ensuite au Salon. Sa maîtrise de la lumière crépusculaire, la tendresse qu’il porte envers ses sujets font de lui l’un des plus ardents porte-parole de son pays. Grand patriote, il utilise sa notoriété dans la lutte pour l’indépendance de la Finlande face à l’influence de la toute-puissante Russie. Par son engagement politique et esthétique et sa stature internationale, il s’affirme comme un modèle pour la jeune génération d’artistes finlandais, parmi lesquels Akseli Gallen-Kallela, Helene Schjerfbeck et Magnus Enckell.

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Le week-end, un thème, un tableau

25 Janvier 2025 Publié dans #dessin et peinture

Un thème, un tableau, les thèmes pour décembre

 

Fardoise nous dit :

En mémoire de Lady Marianne...  Elle a fait de ce challenge ce qu'il est aujourd'hui et nous le poursuivrons sous l'intitulé :

 

"Le week-end, un thème, un tableau"

 

Chaque week-end nous publions un tableau sur un thème donné pour deux semaines, une manière ludique de découvrir la peinture,  et de partager,  

nous disons pourquoi il nous touche,  

et quelques mots sur l'artiste.

 

Fardoise nous dit: Nous venons de souhaiter l’épiphanie autour de la galette, et ce n’est pas encore terminé, tout le mois de janvier peut y être consacré. Au delà des polémiques sur la signification de cette tradition, je voulais simplement proposer de rechercher des représentations de rois et de reines au cours des siècles et partout dans le monde, histoire de trouver des tenues tout autant chatoyantes et luxueuses, qu’elles peuvent parfois friser le ridicule. Oui, oui, on a le droit de se moquer un peu.

 

J'ai choisi ce tableau de François Clouet:

Roi Charles IX de France, vers 1565 

 

 

François Clouet, artiste-peintre de portraits, dessinateur. Né à Tours avant 1520, mort le 22 décembre 1572 à Paris.À la mort de son père, Jean Clouet, hérite de sa charge et devient ainsi le peintre officiel de François Ier, charge qu’il conservera sous Henri II de France (dont il exécute le masque mortuaire), François II de France et Charles IX de France. Son prestige est dû à la protection de Catherine de Médicis, qui réunit personnellement et annote de sa main plus de 500 effigies princières dues aux Clouet ou à leur atelier. Les 54 dessins authentiques de François Clouet, répartis entre le musée Condé de Chantilly et le cabinet des estampes, à Paris, surpassent encore ceux de son père dans la voie que celui-ci avait ouverte1.

François Clouet continue l’œuvre de son père pour l’exécution des portraits dont Jean a été l’inventeur, mais il va plus loin notamment dans ses œuvres de thématiques galantes (La Dame au bain) et satiriques (La Farce des Grecs descendue). Son œuvre fut abondamment copiée d’où les problèmes d’attribution pour certaines d’entre elles. Mais l’art de François Clouet se diffuse largement grâce à son atelier où travaillent des peintres tels que Jacques Patin ou Simon Le Roy. On peut ainsi parler pour les portraits de cour de la formule « Clouet » qui ne changera pas durant des décennies.

L’art de François présente beaucoup d’analogie avec celui de son père. Il est caractérisé par la même sobriété et concentration sur la recherche de ressemblance, le même soin d’éviter tout détail superflu. Les dessins de François ne possèdent pas la légèreté aérienne de ceux de Jean, mais en tant que portraits ils ne sont pas moins saisissants, et c’est lui le premier qui s’est avisé de leur donner un fini qui atteste qu’il ne les considérait plus comme des esquisses préparatoires, mais comme des œuvres d’art achevées en elles-mêmes. Quant à ses portraits peints, leur technique est plus brillante et plus libre que celle de Jean. On y sent aussi l’influence de Holbein dans le portrait de Henri II , celle des Vénitiens et celle du Primatice dans le tableau de la collection Cook. Ainsi que celle du Titien (Vénus d’Urbino) dans les portraits de Diane de Poitiers.

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Le week-end, un thème, un tableau

18 Janvier 2025 Publié dans #dessin et peinture

Un thème, un tableau, les thèmes pour décembre

 

Fardoise nous dit :

En mémoire de Lady Marianne...  Elle a fait de ce challenge ce qu'il est aujourd'hui et nous le poursuivrons sous l'intitulé :

 

"Le week-end, un thème, un tableau"

 

Chaque week-end nous publions un tableau sur un thème donné pour deux semaines, une manière ludique de découvrir la peinture,  et de partager,  

nous disons pourquoi il nous touche,  

et quelques mots sur l'artiste.

 

Fardoise nous dit: Nous venons de souhaiter l’épiphanie autour de la galette, et ce n’est pas encore terminé, tout le mois de janvier peut y être consacré. Au delà des polémiques sur la signification de cette tradition, je voulais simplement proposer de rechercher des représentations de rois et de reines au cours des siècles et partout dans le monde, histoire de trouver des tenues tout autant chatoyantes et luxueuses, qu’elles peuvent parfois friser le ridicule. Oui, oui, on a le droit de se moquer un peu.

 

J'ai choisi ce tableau de Diego Vélasquez, en 1652:

"Portrait de la reine Marie-Anne"

Diego Rodríguez de Silva y Velázquez, peintre espagnol, naît le 6 juin 1599 à Séville. Il décède le 6 août 1660 à Madrid.En 1611, Juan Rodríguez de Silva, le père de Diego, signe avec Francisco Pacheco (1564-1644) un contrat d'apprentissage d'une durée de six années pour son fils.
En 1617, après avoir achevé sa formation, Velázquez passe un examen devant la corporation des peintres sévillans. Il peut ainsi exercer son métier et ouvrir un atelier où il le souhaite en Espagne.

En 1618, Diego Velázquez épouse la fille de Francisco Pacheco, Juana Pacheco Miranda, dans l'église San Miguel à Séville.
En 1622, Velázquez effectue son premier séjour à Madrid.
En 1623, grâce aux proches de Francisco Pacheco et plus précisément à don Juan de Fonseca, aumônier du roi, le comte-duc d'Olivares (1587-1645) fait venir Diego Velázquez à la Cour une nouvelle fois afin qu'il y peigne un portrait du roi. Achevé le 30 août, le portrait (aujourd'hui perdu) remporte un vif succès et ouvre à l'artiste les portes de la Cour. Après s'être installé à Madrid sur les ordres de Philippe IV, Velázquez est nommé peintre du Roi.
En 1625, Velázquez peint le portrait équestre de Philippe IV (aujourd'hui perdu), qui connaît un succès retentissant lors de son exposition Calle Mayor à Madrid devant l'église San Felipe el Real.
En 1627, le roi organise un concours entre ses peintres officiels, Diego Velázquez, Vicente Carducho, Eugenio Cajés et Angelo Nardi. Déclaré vainqueur pour son tableau L'Expulsion des Morisques (détruit dans l'incendie de l'Alcázar en 1734), Velázquez s'impose comme le plus grand artiste de la Cour. 
En 1628, Velázquez rencontre Pierre Paul Rubens (1577-1640), qui se rend pour la seconde fois en Espagne, où il séjournera pendant près de huit mois afin de régler certaines affaires diplomatiques. Les deux artistes se lient d'amitié et visitent ensemble l'Escorial.
En 1629-1630, Velázquez effectue son premier voyage en Italie.
En 1631, Juan Bautista Martínez del Mazo entre dans l'atelier de Velázquez.
Les années 1630 représentent une période d'intense activité pour l'artiste, qui joue un rôle déterminant dans la décoration de plusieurs édifices royaux.
En 1649-1651, Diego Velázquez effectue son second voyage en Italie.
En 1650, Velázquez peint le Portrait du pape Innocent X.
En 1651, après avoir annoncé le retour de l'artiste à Madrid, Philippe IV lui confirme sa confiance en lui confiant deux énormes chantiers, la rénovation de l'Alcázar et celle du monastère de San Lorenzo el Escorial.
En 1652, Velázquez est nommé "grand maréchal du Palais". C'est une tâche très lourde qui lui laisse peu de temps pour la peinture. L'artiste doit régir la vie quotidienne du palais, organiser les déplacements de la Cour, s'occuper des différentes demeures.
En 1656, Velázquez peint Les Ménines, son oeuvre la plus célèbre.
En 1659, Diego Velázquez est nommé chevalier de l'ordre de Santiago. Puis, il est anobli par Philippe IV, qui lui octroie le titre de hidalgo. L'artiste exécute plusieurs tableaux à caractère mythologique et supervise la décoration du grand salon de l'Alcázar, dit salon des Miroirs.
En 1660, Velázquez est choisi comme témoin du mariage de l'infante Marie-Thérèse, fille de Philippe IV, avec le roi de France Louis XIV, union qui scelle les accords de paix entre les deux nations. En tant que grand maréchal, il doit veiller à l'organisation du voyage et superviser la décoration de la cérémonie, qui a lieu dans les Pyrénées.
Diego Velázquez décède le 6 août 1660.

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Le week-end, un thème, un tableau

11 Janvier 2025 Publié dans #dessin et peinture

Un thème, un tableau, les thèmes pour décembre

 

Fardoise nous dit :

En mémoire de Lady Marianne...  Elle a fait de ce challenge ce qu'il est aujourd'hui et nous le poursuivrons sous l'intitulé :

 

"Le week-end, un thème, un tableau"

 

Chaque week-end nous publions un tableau sur un thème donné pour deux semaines, une manière ludique de découvrir la peinture,  et de partager,  

nous disons pourquoi il nous touche,  

et quelques mots sur l'artiste.

 

Fardoise nous dit:

pour ouvrir l'année 2025, j'ai cherché à quoi elle est consacrée et j'ai vu que c'était différent selon que l'on était en Europe (Année européenne de l'éducation à la citoyenneté numérique 2025), alors que pour les Nations Unies, 2025 est l’année internationale des sciences et technologies quantiques. Je trouvais ces thèmes un peu complexes pour les associer à des peintures.

Et chance, je suis revenue en France et j'ai trouvé LE THÈME : 

la-mer-en-commun

J'ai choisi ce tableau de Ivan Konstantinovitch Aïvazovski:

 

"Between the waves" 1898

 

 

Ivan Konstantinovitch Aivazovski nait le 29 juillet 1817 à Théodosie, en Crimée. Il est issu d’une famille de marchands arméniens. Très rapidement, Ivan est attiré par le dessin et possède un certain talent. Il est formé au Gymnasium de Simferopol puis, grâce au maire de Théodosie, poursuit sa formation artistique à l’Académie impériale des Beaux-arts de Saint-Pétersbourg. Il se spécialise dans l’étude du paysage, en particulier du paysage marin.

Ses œuvres remportent un succès immédiat à tel point que l’écrivain Alexandre Pouchkine admire ouvertement son travail. Il sort de l’Académie en 1837 avec une médaille d’or. A sa sortie, il voyage plusieurs années en bateau avec la flotte russe pour peindre des paysages maritimes. Il part ensuite plusieurs années dans différents pays d’Europe (Italie, Espagne, Malte, France, Angleterre, Allemagne et Pays-Bas) et reçoit des médailles en France et en Italie.

En 1841, Le Chaos, l’une des ses plus grandes œuvres, est achetée par le pape Grégoire XVI. Il rentre en Russie en 1844 et devient l’un des peintres officiels de la marine russe. Il continue donc de voyager durant plusieurs années.

A son retour, au lieu de rester à Saint-Pétersbourg, il rentre à Théodosie. Parallèlement à son travail de peintre, il vient en aide à la communauté arménienne qu’il rencontre partout où il va : il fait construire une école arménienne puis une église arménienne dans sa ville natale, mais également une école des Arts en 1865. Il meurt le 5 mai 1900 dans cette même ville.

Ivan Aivazovski est un peintre qui fut apprécié autant par ses compatriotes russes que par les autres : il fut invité à Constantinople par le sultan Abdulaziz (où il représenta Vue du port de Constantinople), il fut décoré de la Légion d’honneur française, et fut apprécié autant par les peintres russes et arméniens qu’anglais et français.

L’œuvre d’Ivan Aivazovski dégage une lumière exceptionnelle. Il se consacra particulièrement à la représentation du ciel et de la mer, et laissa derrière lui des œuvres sublimes : « Est sublime ce en comparaison de quoi tout le reste est petit. » dit Emmanuel Kant.

 

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Le week-end, un thème, un tableau

4 Janvier 2025 Publié dans #dessin et peinture

Un thème, un tableau, les thèmes pour décembre

 

Fardoise nous dit :

En mémoire de Lady Marianne...  Elle a fait de ce challenge ce qu'il est aujourd'hui et nous le poursuivrons sous l'intitulé :

 

"Le week-end, un thème, un tableau"

 

Chaque week-end nous publions un tableau sur un thème donné pour deux semaines, une manière ludique de découvrir la peinture,  et de partager,  

nous disons pourquoi il nous touche,  

et quelques mots sur l'artiste.

 

Fardoise nous dit:

pour ouvrir l'année 2025, j'ai cherché à quoi elle est consacrée et j'ai vu que c'était différent selon que l'on était en Europe (Année européenne de l'éducation à la citoyenneté numérique 2025), alors que pour les Nations Unies, 2025 est l’année internationale des sciences et technologies quantiques. Je trouvais ces thèmes un peu complexes pour les associer à des peintures.

Et chance, je suis revenue en France et j'ai trouvé LE THÈME : 

la-mer-en-commun

J'ai choisi ce tableau de Peder Severin  Kroyer:

"Soleil de l'après-midi et vue sur la mer"

 

Peder Severin Kroyer 1851-1909

Au Danemark et en Norvège, tous les enfants connaissent Peder Severin Krøyer. Le peintre norvégien et danois de Skagen est l’icône de l’impressionnisme nordique.

Dès ses 14 ans, Krøyer fit des études à l’académie royale des Beaux-Arts du Danemark. En jeune artiste, il fit entre 1877 et 1881 des voyages prolongés en Espagne, en Italie, en France et en particulier à Paris, où il étudia les impressionnistes. À l’été 1882, il alla pour la première fois à Skagen, où il passa dès lors chacun de ses étés et devint le représentant principal du collectif d’artistes éponyme.

Ses tableaux montrent la vie insouciante de l’artiste, ses fêtes, promenades le long de la plage et les soirées animées au clair de lune.

Ce n’est pas seulement sa maîtrise technique et la virtuosité de son maniement des questions de composition figurative et de l’harmonisation des couleurs qui ont fait de Krøyer un grand maître. C’est également son sens de l’observation et le fait que les atmosphères parfaitement capturées de ses peintures avaient un effet presque immédiat sur l’observateur.

 

 

 

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Le week-end, un thème, un tableau

28 Décembre 2024 Publié dans #dessin et peinture

Un thème, un tableau, les thèmes pour décembre

 

Fardoise nous dit :

En mémoire de Lady Marianne...  Elle a fait de ce challenge ce qu'il est aujourd'hui et nous le poursuivrons sous l'intitulé :

 

"Le week-end, un thème, un tableau"

 

Chaque week-end nous publions un tableau sur un thème donné pour deux semaines, une manière ludique de découvrir la peinture,  et de partager,  

nous disons pourquoi il nous touche,  

et quelques mots sur l'artiste.

 

Lilou nous dit:

Pour cette dernière quinzaine et pour finir en beauté je vous propose un thème large:

OMBRES ET LUMIERES

les Impressionnistes devraient tous nous inspirer et la période hivernale favorable entre neige et mystère

 

J'ai choisi ce tableau de Claude Joseph Vernet:

"La nuit, un port de mer au clair de lune" 1771

 

Joseph Vernet, né Claude Joseph Vernet à Avignon le 14 août 1714, et mort à Paris le 3 décembre 1789, est un peintre, dessinateur et graveur français, célèbre pour ses marines.

Joseph Vernet est formé dans le Sud de la France. On lui donne comme maîtres Adrien Manglard et Philippe Sauvan. En 1734, Vernet part pour Rome pour y étudier le travail des précédents paysagistes et peintres de la marine comme 
Le Lorrain, dont on retrouve le style et les sujets dans les tableaux de Vernet. Il se constitue un solide réseau international à l'occasion de ce voyage, et par la suite à Paris via les salons, l'Académie royale et les loges maçonniques.

Les sociabilités cosmopolites que ce réseau suscite lui permettent de déployer ses talents de société 

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Le week-end, un thème, un tableau

18 Décembre 2024 Publié dans #dessin et peinture

Un thème, un tableau, les thèmes pour décembre

 

Fardoise nous dit :

En mémoire de Lady Marianne...  Elle a fait de ce challenge ce qu'il est aujourd'hui et nous le poursuivrons sous l'intitulé :

 

"Le week-end, un thème, un tableau"

 

Chaque week-end nous publions un tableau sur un thème donné pour deux semaines, une manière ludique de découvrir la peinture,  et de partager,  

nous disons pourquoi il nous touche,  

et quelques mots sur l'artiste.

 

Lilou nous dit:

Pour cette dernière quinzaine et pour finir en beauté je vous propose un thème large:

OMBRES ET LUMIERES

les Impressionnistes devraient tous nous inspirer et la période hivernale favorable entre neige et mystère

 

J'ai choisi ce tableau de Joseph Mallord William Turner:

 "Pêcheurs en mer" 1796

 

Joseph Mallord William Turner était un peintre anglais spécialisé dans les paysages. Il est né à Covent Garden, à Londres, le 23 avril 1775 et est décédé à Chelsea, à Londres, le 19 décembre 1851.Né à Londres, d'origine modeste, William Turner a gardé un accent cockney toute sa vie. Son père, William, était coiffeur et perruquier, et la famille de sa mère travaillait dans le négoce et tenait des boutiques. William Turner a été proche de son père qui a encouragé la vocation artistique de son fils en exposant ses dessins dans son échoppe. Les liens se sont même resserrés quand la santé de mentale de sa mère a commencé à se détériorer.

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